Cabinet du docteur Alain Christian, enregistrement audio. Date indéterminée.
"Maintenant Gabriel, tu vas compter jusqu'à dix, à dix tu seras en état d'hypnose.
...
Tout te parait calme, tu ne suis que ma voix, ma voix te guide et te suivra pour le reste de tes jours ...
Tout te parait bien, tu ne suis que ma voix, ma voix te guide et te suivra pour le reste de tes jours ...
Maintenant Gabriel, tu vas penser à un être très cher. Et tu vas imaginer le faire souffrir, répands le mal. Tu ne suis toujours que ma voix.
...
Résonne dans ton subconscient selon trois principes. Résonne par le mal, raisonne en trois principes ...
Bind, Torture, Kill."
mardi 28 septembre 2010
jeudi 2 septembre 2010
Chapter X
Gabriel s'en était allé, il marchait dans les ruelles sombres de son village, pour trouver un journal. Peut-être pour trouver sa prochaine proie, ou voir un ancien exploit.
dimanche 25 juillet 2010
mardi 20 juillet 2010
Chapter IX
"On rentre on rentre !!" criait le capitaine de l'escadron de police. Et pourtant, là où il entrait, n'y avait que deux personnes. Théophile et Manon.
jeudi 8 juillet 2010
Appendix 0001
Bureau du Docteur Christian Alain, 2005.
Enregistrement cassette d'une séance avec M. NOVGOROD Gabriel.
Enregistrement cassette d'une séance avec M. NOVGOROD Gabriel.
Chapter VIII
Après que Théo eut tiré. Il pleurait, la mort de Gabriel l'aurait terrassé. Pourtant il vivait, il n'y avait eu que deux clics et aucun bruit de tir. Le 9mm n'avait plus de balles.
samedi 3 juillet 2010
Chapter VII
Après les deux coups de feu, il y eut un cadavre sur le sol. Enchainée et morte, Manon était à terre. Le flic rengaina son arme chaude du dernier coup de feu et sourit à Gabriel.
jeudi 1 juillet 2010
lundi 28 juin 2010
Chapter VI
Et juste après la sommation du flic. Gabriel reprit ses esprits, il ne paniquait pas. Au contraire, il était content. Le flic visait Gabriel avec son arme de service, un 9mm :
"Alors M. Novgorod, on s'amuse encore à faire n'importe quoi ?
- Aidez moi ! Tuez-le et sortez moi de là !"
Manon priait pour la mort de son cousin, mais le flic ne bougeait pas. Tout était immobile.
"Alors M. Novgorod, on s'amuse encore à faire n'importe quoi ?
- Aidez moi ! Tuez-le et sortez moi de là !"
Manon priait pour la mort de son cousin, mais le flic ne bougeait pas. Tout était immobile.
mercredi 23 juin 2010
Chapter V
Gabriel avait accompli son forfait, la tronçonneuse était plein de sang. Manon hurlait encore. Elle agonisait dans la douleur. Gabriel ne l'avait pas tué, il l'avait promis, il voulait juste "faire joujou". Chose promise, chose due. Il ne lui a que coupé la jambe.
lundi 21 juin 2010
Chapter IV
Manon reprit connaissance, elle vit une pièce blanche et rouge. Rouge de sang. Pleine de cellophane par terre. Elle était enchainée à la chaise, de lourds maillons, un cadenas plutôt fragile. Elle n'était pas baillonnée. Le silence était là, tout comme Gabriel.
vendredi 18 juin 2010
Chapter III
"Tu resterai bien manger ... ? dit Gabriel
- Oui ... mais ; enfin ... pas longtemps ... Dylan ...
- Oui ? Quelque chose cloche ?
- Je me sens ... je me ..."
Et c'est à ce moment précis qu'elle tomba, tête la première sur la table en bois, assommée. Gabriel avait sédaté son sirop de mort. Un liquide rose, peut-être du Théralene.
- Oui ... mais ; enfin ... pas longtemps ... Dylan ...
- Oui ? Quelque chose cloche ?
- Je me sens ... je me ..."
Et c'est à ce moment précis qu'elle tomba, tête la première sur la table en bois, assommée. Gabriel avait sédaté son sirop de mort. Un liquide rose, peut-être du Théralene.
mardi 15 juin 2010
Chapter II
Juste après que Gabriel ait hurlé son dernier commandement, il se mit à l'œuvre. Un coup de scalpel vif, puissant et précis sur la thyroïde de son dit frère. Le sang coulait à flot, et Gabriel mit une compresse à gaze sur la plaie de sa victime.
Le sang coulait encore, mais moins grâce à la compression. Mais le pauvre animal se noyait dans son sang. Il crachait rouge, ses dents jadis blanches étaient souillées : "chut..." murmura Gabriel. Et après quelques convulsions, son frère plongeait dans un sommeil peut-être sans fin.
Le sang coulait encore, mais moins grâce à la compression. Mais le pauvre animal se noyait dans son sang. Il crachait rouge, ses dents jadis blanches étaient souillées : "chut..." murmura Gabriel. Et après quelques convulsions, son frère plongeait dans un sommeil peut-être sans fin.
dimanche 13 juin 2010
Chapter I
Il pleuvait, et il faisait froid. On était pourtant au printemps. Gabriel soupirait tandis qu'il poussait la porte de sa maison. Une maison isolée, il avait besoin de sa dose de solitude. Et d'autres doses aussi. Salivant à l'idée d'ouvrir son mini-bar, il se demandait quel alcool il allait savourer.
Gin, Whisky, Vodka, Absinthe. Toutes étaient pleines, sauf les bouteilles d'absinthe. Il y en avait de plusieurs sortes, noire, verte, blanche et rouge. Mais sous l'étiquette de la bouteille rouge d'absinthe se dissimulait un contenu bien plus horrible que l'on pouvait le penser. C'était en effet du sang. Pas du sang de bœuf pour faire mariner de la viande non, du sang humain voyons. Le liquide rouge crouté venait du corps de son petit neveu, dieu seul sait comment Gabriel s'y est prit pour qu'il atterrisse là.
Gin, Whisky, Vodka, Absinthe. Toutes étaient pleines, sauf les bouteilles d'absinthe. Il y en avait de plusieurs sortes, noire, verte, blanche et rouge. Mais sous l'étiquette de la bouteille rouge d'absinthe se dissimulait un contenu bien plus horrible que l'on pouvait le penser. C'était en effet du sang. Pas du sang de bœuf pour faire mariner de la viande non, du sang humain voyons. Le liquide rouge crouté venait du corps de son petit neveu, dieu seul sait comment Gabriel s'y est prit pour qu'il atterrisse là.
Préface
Bind, Torture, Kill. (Ligoter, Torturer, Tuer)
Ce blog roman va vous plonger aussi souvent que possible dans une histoire qui n'a pas vraiment de fin.
J'espère que vous vous amuserez autant à le lire que moi à l'écrire.
Cordialement, Mitternacht.
Ce blog roman va vous plonger aussi souvent que possible dans une histoire qui n'a pas vraiment de fin.
J'espère que vous vous amuserez autant à le lire que moi à l'écrire.
Cordialement, Mitternacht.
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