John Doe :
Bonjour Mitternacht, comment allez-vous après cette première mise en ligne de votre roman ?
Bonjour Mitternacht, comment allez-vous après cette première mise en ligne de votre roman ?
Mitternacht :
Bonjour M. Doe, on ne peut aller mieux. Ces heures de travail on été payantes. Même si j'ai eu des soucis avec l'hébergement le cœur de l'histoire se construit et les visites augmentent.
John Doe :
La question qui brule les lèvres de plusieurs de nos lecteurs, est-ce une histoire vraie ou vécue ?
La question qui brule les lèvres de plusieurs de nos lecteurs, est-ce une histoire vraie ou vécue ?
Mitternacht :
Non, tout n'est que pure imagination. Je pense que, comme tout écrivain, je ne suis pas entièrement détaché du protagoniste qui incarne le parfait anti-héros, mais je ne suis pas Gabriel pour autant.
Non, tout n'est que pure imagination. Je pense que, comme tout écrivain, je ne suis pas entièrement détaché du protagoniste qui incarne le parfait anti-héros, mais je ne suis pas Gabriel pour autant.
John Doe :
Quelle est la raison qui vous a poussée à écrire cette histoire ?
Mitternacht :
Aucune raison particulière, mis à part l'envie. L'écriture est pour moi un hobby et une passion. Un "don" en exagérant un peu qu'on se doit de faire partager au monde. Même si les gens n'aiment pas Gabriel, je pense qu'ils se sentent un tantinet proche de lui, et qu'ils l'envient et le jalouse. L'idée du titre et de l'histoire m'est venue en écoutant une chanson de Suicide Commando (Bind, Torture, Kill). Je remercie d'ailleurs Johan Van Roy pour le logo et l'autorisation du titre.
John Doe :
Avez-vous fait lire ce début de roman à votre entourage ? Qu'en on-t-il pensé ?
Mitternacht :
Je garde mes écrits assez secret, du moins pour la famille qui serait choquée. Mes amis proches n'ont pas donné d'avis général mais les quelques retombées que j'ai eu ont été positives. Ils s'accrochent à BTK comme à un soap et attendent toujours la suite.
John Doe :
A présent, rentrons un peu plus dans le vif du sujet : on connait le Gabriel courageux pour tuer quelques membres de sa famille mais va t on connaitre le Gabriel apeuré, en danger ?
Mitternacht :
Répondre à cette question dévoilerai la suite de l'intrigue, mais, comme vous avez pu le constater ; il a beaucoup moins d'aplomb à tuer Manon que son frère. Donc son état mental est instable. Si on lit encore le chapitre ou il s'apprête à torturer sa cousine, on le voit faible. On apprend aussi qu'il a été pour de mystérieuses raisons en Hôpital Psychiatrique, ayant pour traitement du zyprexa qui est un antipsychotique. Il a donc été traité contre la schizophrénie. Manifestement, ça le trouble. Et je ne pense pas qu'il puisse rester de marbre toute sa vie.
John Doe :
Peut on imaginer que le grand Gabriel ait de la concurrence ?
Mitternacht :
Question pertinente. On peut imaginer cela en effet. Mais si c'était le cas, comment le saurait-il ? Pour le moment il poursuit une vendetta contre sa famille.
John Doe :
Oui bien sur. Avez vous déjà une idée sur la fin ? Car en haut de votre site, on peut lire "Une histoire...pas de fin".
Mitternacht :
J'ai des idées sur la suite en effet. Mais je ne pense pas que ce roman puisse réellement se terminer de façon plausible. La seule raison qui pourrait l'empecher de nuire serait la prison ou l'hopital. On a fait près de huit Freddy (les griffes de la nuit), mais les suites ont été un réel flop. Je pense terminer l'histoire quand l'inspiration sera tarie et que le roman deviendra fade. Peut-être dans un an, ou deux. Peut-être plus.
J'ai des idées sur la suite en effet. Mais je ne pense pas que ce roman puisse réellement se terminer de façon plausible. La seule raison qui pourrait l'empecher de nuire serait la prison ou l'hopital. On a fait près de huit Freddy (les griffes de la nuit), mais les suites ont été un réel flop. Je pense terminer l'histoire quand l'inspiration sera tarie et que le roman deviendra fade. Peut-être dans un an, ou deux. Peut-être plus.
John Doe :
Après celui-ci, pensez-vous qu'un nouveau récit de ce genre pourra naitre ?
Mitternacht :
Pourquoi pas, je reste attentif à chaque occasion. Mais contrairement à Thanatosis , je veux faire dans le long.
John Doe :
On vous connait dans ce roman, on vous a connu dans deux autres romans, mais est-ce le seul style de texte que vous écrivez ?
Mitternacht :
C'est un style dans lequel j'excelle. Mais j'ai aussi écrit des poèmes moins sombres et moins tristes, comme celui parut dans Le Petit Vendômois.
John Doe :
Est-ce que ce style si sombre et si sinistre ne reflète-t-il pas un passé douloureux ?
Mitternacht :
Je ne répondrais pas à cette question.
John Doe :
Après avoir relut votre œuvre, qu'en pensez vous ?
Mitternacht :
Qu'il faut continuer le travail. Le début me semble un peu faible, mais la suite gagne en puissance. J'ai eu une légère impression de cliché mais elle s'est vite estompée.
John Doe :
Parfait. Je vous remercie pour le temps que vous nous avez accordé.
Mitternacht :
Merci à vous.